Sauf indications contraires, l’école se déroule sur le campus de l’Université de Lausanne, à la salle 106 du Château de Dorigny, 1015 Lausanne.
Lundi 8 novembre – après-midi
15.00 :
Accueil et présentation du programme (François Vallotton)
15.30 :
Présentation du réseau METIS (Caroline Moine, Carlotta Sorba, Nelly Valsangiacomo)
16.30 :
Pause
17.00 :
Conférence de Jean-Claude Yon (École pratique des Hautes Études, Paris) : « Spectacles et presse en France au XIXe siècle : les liaisons dangereuses »
Suivie d’un apéritif
Mardi 9 novembre – matinée
9.00 :
Ouverture de la matinée par Gilles Malandain (Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines)
9.10 :
Conférence de Francesco Buscemi (University of Groningen), « Spectacular Speeches. Rhetorical Practices and Emotional Engagement in the Age of Revolutions »
Suivie d’une discussion
10.15 :
Pause
10.45-13.00 : « Politiques de la spectacularisation » sous la présidence de Gilles Malandain
10.45 :
Alessandro Grelli (Università di Padova), « Le spectacle de la guerre au XIXe siècle : le panorama de la bataille de Solférino entre France et Italie »
11.20 :
Raphaël Bortolotti (Université de Lausanne), « La profession de scénographe dans l’Italie du XIXe siècle »
11.55 :
Francesca Campani (Universities of Padova, Venice Ca’ Foscari and Verona), « Spectacularising sexuality: Museums, exhibitions and sexual science at the end of the nineteenth century »
12.30 :
Discussion générale
13.00 :
Repas de midi
Mardi 9 novembre – après-midi
14.30-17.00 : « Formes imprimées (comics et livre d'artiste) » sous la présidence de Philippe Kaenel
14.30 :
Ouverture de l’après-midi par Philippe Kaenel (Université de Lausanne)
14.40 :
Giulio Argenio (Universities of Padova, Venice Ca’ Foscari and Verona), « Envisioning a Spectacular Future: Italian Children Magazines and the Marvels of Cold War Science »
15.15 :
Marie-Anne Jagodzinski (Université Paris-Saclay / Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines), « Spectaculaire ornement 1900 : la prolifération de la beauté à but idéologique »
15.50 :
Pause
16.20 :
Discussion générale
19.30 : Repas du soir en commun
Mercredi 10 novembre – matinée
9.00 :
Ouverture de la matinée par Carlotta Sorba (Università di Padova)
9.10 :
Conférence d'Alessio Petrizzo « Università di Padova), « Horribles objets d’art ». Tatoué·e·s et tatoueurs d'Europe comme défi aux catégories esthétiques et sociales (fin XIXe-début XXe siècle)
Suivie d’une discussion
10.15 :
Pause
10.45-13.00 : « Corps en spectacles » sous la présidence de Carlotta Sorba
10.45 :
Elisa Heuser (University of Tübingen), « Sarah Jacob (1857- 1869) - The Welsh ‘Marvellous’ Fasting Woman. Performance and Politics of Wonder »
11.20 :
Romy Courat (Université Paris-Saclay / Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines), « Le corps tatoué exposé comme spectacle : évolution de la pratique et de sa compréhension à travers le temps »
11.55 :
Claudio Monopoli (Universities of Padova, Venice Ca’ Foscari and Verona), « The spectacle of pornographic photography: presence and agency in Italian censorship nets, 1839-1919 »
12.30 :
Discussion générale
13.00 :
Repas de midi
Mercredi 10 novembre – après-midi au Musée Olympique, Quai d'Ouchy 1, Lausanne
14.30 :
Rendez-vous à la salle Olympie du Musée Olympique où se dérouleront les présentations suivantes :
Patrick Clastres (professeur d’histoire du sport à l’Université de Lausanne), « Les cérémonies d'ouverture des Jeux olympiques (1960-2021) : des romans nationaux à l'âge global »
Patricia Reymond (manager des Collections du musée), « Les costumes et accessoires de scène, une source pour l’étude des cérémonies olympiques.
Sabine Christe (manager des Archives Historiques du musée), « Quelles traces écrites pour les cérémonies ? »
Jeudi 11 novembre – matinée
9.00 :
Ouverture de la matinée par Anne-Claude Ambroise-Rendu (Université Paris-Saclay / Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines)
9.10 :
Conférence de Karel Vanhaesbrouck (Université Libre de Bruxelles), « Performing baroque. Between immersion and metatheatricality »
Suivie d’une discussion
10.15 :
Pause
10.45-13.00 : « Théâtralités et spectacularisation » sous la présidence de Caroline Moine
10.45 :
Christel Naujoks (École Pratique des Hautes Études de Paris / Université de Lausanne), « Enjeux politiques et réceptions populaires de l’œuvre de Chagall après 1945 »
11.20 :
Julie Borgeaud (Université de Lausanne / New York University), « La patrimonialisation de l’œuvre de Louis Soutter »
11.55 :
Marc Colin (Université de Lausanne), « Festivals de musique et spectacularisation des villes : les festivals de jazz de Newport et Montreux (1954 - 1981) »
12.30 :
Discussion générale
13.00 :
Repas de midi
Jeudi 11 novembre – après-midi
14.15 :
Ouverture de l’après-midi par Olivier Lugon (Université de Lausanne)
14.25 :
Conférence de Stéphanie Le Gallic (Université de Bordeaux), « La publicité lumineuse à Paris, Londres et New York de la fin du XIXe siècle à nos jours » (par visioconférence)
Suivie d’une discussion
15.25-17.30 : « Projection et photographie » sous la présidence d’Olivier Lugon
15.25 :
Frédéric Créhalet (Université Paris-Saclay / Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines), « Un spectacle électrifié. L'empsychographe: une invention au service du spectaculaire à Nantes en 1899 »
16.00 :
Pause
16.30 :
Faezeh Firoozi (Université Paris-Saclay / Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines), « Le voile dans les oeuvres des femmes photographes : discours alternatifs et exemples iraniens »
17.05 :
Discussion générale
18.15 : Accueil et présentation au pôle muséal Plateforme 10 par son directeur général Patrick Gyger
Vendredi 12 novembre – matinée
9.30-12.00 : « Intermédialités » sous la présidence de Valentine Robert
9.30 :
Ouverture de la matinée par Valentine Robert (Université de Lausanne)
9.40 :
Lorena Ehrbar (Université de Lausanne), « Représenter la danse de Serge Lifar : supports, thématiques, transferts »
10.15 :
Pause
10.50 :
Marie-Charlotte Quin (Université de Strasbourg / Université de Lausanne), « Colette : Portraits de l’autrice en saltimbanque »
11.25 :
Discussion générale suivie d’une allocution de conclusion par François Vallotton (Université de Lausanne)